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03 octobre 2017

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Ghoulam n'a pas rejoint les Verts

Convoqué pour le stage de préparation du match contre le Cameroun, pour le compte des éliminatoires de la Coupe du monde 2018, qui doit se jouer le samedi 7 octobre 2017 à 17h00 à Yaoundé, Faouzi Ghoulam ne s’est pas présenté au Centre technique national de Sidi-Moussa.

Son club, le SSC Napoli, a envoyé une correspondance à la Fédération algérienne de football pour l’informer que le joueur souffre d’une fièvre, d’une diarrhée et de vomissements et que son état de santé ne lui permet pas de voyager afin de venir faire constater sa maladie par le staff médical de la sélection nationale. Etant dans l’impossibilité de vérifier les allégations du SSC Napoli, la FAF ne peut que lui laisser le bénéfice du doute en espérant à Faouzi Ghoulam un prompt rétablissement. Cependant, et vu que le joueur a joué la veille 87 minutes un match de Serie A, elle examine l’éventualité d’envoyer un médecin à Naples pour examiner le joueur, comme l’y autorise la réglementation. FAF

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02 octobre 2017

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Mondial Feminin U20: Le Ghana bat l'Algérie 5-0

Sur le même score du match aller disputé au stade Omar Hamadi, la sélection féminine du Ghana des moins de 20 ans, s'est imposée dimanche 5-0 face à la sélection Algérienne au Cape Coast Stadium en match retour des éliminatoires de la Coupe du monde de la catégorie.
Les algériennes avaient résisté durant la première mi-temps, en étant devancées par un seul but, mais elles ont cédé physiquement face à une équipe largement supérieur. La sélection U20 féminine n'ira donc pas au mondial, "mais le travail continuera avec les joueuses pour améliorer leurs performances à l’avenir" a indiqué la FAF..
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Alcaraz, mercredi face à la presse

Le sélectionneur national, Lucas Alcaraz, animera une conférence de presse le mercredi 4 octobre 2017 à 12h00 au Centre technique national de Sidi-Moussa.
Comme c’était le cas pour la précédente conférence de presse organisée à l’occasion du stage de préparation du match face à la Zambie, celle de mercredi durera 45 minutes et chaque média pourra poser une seule question, a annoncé la FAF sur son site internet. L'autre règle annoncée pour cette conférence de presse est de ne permettre aux médias désireux de poser d'autres questions que s'il restera du temps avant les 45 minutes. A la fin des débats avec le coach national, une autre conférence de presse sera animée par trois joueurs et durera 30 minutes, suivant les mêmes règles.
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Lucas Alcaraz dévoile sa liste pour le Cameroun

Le sélectionneur de l’Algérie, M. Lucas Alcaraz, a rendu publique la liste des joueurs sélectionnés pour le stage de préparation du match Cameroun – Algérie, comptant pour la 5e journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2018, programmé pour le samedi 7 octobre 2017 à 17h00 à Yaoundé.
Le stage de préparation débutera le lundi 2 octobre 2017 au Centre technique national de Sidi-Moussa. Le déplacement vers Yaoundé s’effectuera le jeudi 5 octobre 2017 par un vol spécial au départ de l’aéroport international Houari-Boumediene d’Alger. Liste des joueurs convoqués : Gardiens de but : Raïs M’BOLHI (Stade Rennais, France), Abdelkadir SALHI (CR Belouizdad, Algérie), Toufik MOUSSAOUI (Paradou AC, Algérie). Défenseurs : Mohamed FARES (Hellas Verona, Italie), Faouzi GHOULAM (SSC Napoli, Italie), Rami BENSEBAÏNI (Stade Rennais, France), Aïssa MANDI (Real Betis, Espagne), Abdelkader BEDRANE (ES Sétif, Algérie), Liassine CADAMURO-BENTAÏBA (Nîmes Olympique, France), Farouk CHAFAÏ (USM Alger, Algérie), Zinedine FERHAT (Le Havre AC, France). Milieux de terrain : Sofiane FEGHOULI (Galatasaray SK, Turquie), Raouf BENGUIT (USM Alger, Algérie), Sofiane BENDEBKA (MC Alger, Algérie), Saphir TAÏDER (Bologna FC, Italie), Sofiane DAHAM (FC Sochaux, France). Attaquants :Hilal El Arabi SOUDANI (GNK Dinamo Zagreb), Rachid GHEZZAL (AS Monaco, France), Abderrahmane MEZIANE (USM Alger, Algérie), Yacine BRAHIMI (FC Porto, Portugal), Sofiane HANNI (RSC Anderlecht, Belgique), Ishak BELFODIL (SV Werder Bremen, Allemagne), Oussama DARFALOU (USM Alger, Algérie). Joueurs invités au stage : Houari BAOUCHE (O Médéa, Algérie), Imadeddine BOUBEKEUR (O Médéa, Algérie).
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26 septembre 2017

Lucas Alcaraz reste à la tête des verts

La Fédération algérienne de football (FAF) a renouvelé sa confiance au staff technique de la sélection algérienne sous la conduite de Lucas Alcaraz au moins jusqu'à la fin de la campagne des éliminatoires de la Coupe du Monde 2018 prévue en novembre prochain, a indiqué l’instance fédérale dimanche soir.

La décision a été prise par le Bureau Fédéral de la FAF, réuni ce dimanche au centre technique national à Sidi Moussa, sous la présidence de Kheireddine Zetchi, a précisé la FAF sur son compte twitter.
A la tête de la sélection algérienne depuis avril 2017 ,le technicien espagnol a enregistré deux victoires contre la Guinée (2-1) en amical et le Togo (1-0) en qualification de la CAN-2019 et deux défaites de rang face à la Zambie (3-1, 0-1) en qualification du Mondial 2018 en plus d'une  élimination du championnat d'Afrique des Nations CHAN 2018 face à la Libye (1-2, 1-1), une compétition réservée aux joueurs locaux.
La prochaine sortie officielle des Verts est prévue le 7 octobre prochain contre le Cameroun à Yaoundé pour le compte de la cinquième journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2018. Une rencontre sans enjeu puisque les deux équipes sont hors course pour la qualification au mondial russe.
La dernière rencontre des éliminatoires du mondial 2018 aura lieu en novembre prochain à Constantine contre le Nigeria, l’actuel leader du groupe B avec 10 points devant la Zambie 7 points. APS
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Ould Zemirli à la tête d'un comité de suivi des Verts

La Fédération algérienne de football (FAF) a  décidé de mettre en place un comité de suivi de la sélection nationale que présidera le vice-président de l'instance fédérale Bachir Ould Zemirli, a  indiqué la FAF lundi sur son site.

Cette décision a été prise sur "insistance" du président de la FAF pour "une plus grande implication des membres du Bureau fédéral dans la gestion  de la sélection nationale", précise la FAF dont le Bureau fédéral s'est réuni dimanche à Sidi Moussa (Alger).
"Ce comité s'occupera du suivi de la  sélection au quotidien et de la mise  en place d'une stratégie à moyen terme destinée à reconstruire une sélection conquérante et compétitive digne des qualités individuelles de sa  composante", souligne la même source.
Outre Bachir Ould Zemirli, ce comité de suivi est composé de Mohamed  Maouche, Hakim Medane, Rachid Gasmi, Larbi Oumamar et Amar Bahloul. APS

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20 septembre 2017

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Retraite internationale pour Carl Medjani

Le président de la fédération algérienne de football, Kheireddine Zetchi a annoncé mardi à Oran que le défenseur international Carl Medjani, a décidé de mettre fin à sa carrière internationale.
"Medjani est venu nous voir après le match contre la Zambie (défaite 1-0), le 2 septembre dernier, pour nous informer de sa décision de prendre sa retraite internationale. Il nous a dit qu’il voulait laisser sa place aux jeunes" , a déclaré Zetchi, lors de la conférence de presse, tenue à l’issue de sa réunion avec les présidents des Ligues régionales et de wilayas de l’Ouest et du Sud-Ouest. Carl Medjani (32 ans) avait rejoint la sélection nationale peu avant le Mondial-2010 en Afrique du Sud. Il joue actuellement à Sivasspor (Turquie) et compte 56 sélections pour trois buts marqués. La première instance footballistique nationale compte organiser une fête en l'honneur de Medjani, à l’occasion du match contre la Nigeria, le 10 novembre prochain dans le cadre de la sixième et dernière journée des éliminatoires du Mondial-2018. "C’est un joueur qui mérite tous les égards. On va lui réserver une sortie honorable en signe de reconnaissance pour tout ce qu’il a donné à l’équipe nationale" , s’est engagé Zetchi. Medjani a été laissé sur le banc, lors des deux précédents matchs contre la Zambie, soldée tous les deux par des défaites (3-1 et 1-0), pour le compte de la 3e et 4e journée des qualifications au Mondial-2018. APS
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19 septembre 2017

Equipe Nationale: Alcazar compte convoquer de nouveaux joueurs


Le staff technique de la sélection nationale de football, dirigé par M. Lucas Alcaraz, s’est réuni afin d’étudier les perspectives d’avenir à la lumière de l’élimination de l’Algérie de la course à la Coupe du monde 2018. 

Après discussion et concertation, et compte tenu de la rareté des dates FIFA et, donc, du peu d’opportunités qui sont offertes pour découvrir de nouveaux talents, il a été décidé de tirer profit de la prochaine confrontation de la sélection algérienne face au Cameroun, le 7 octobre 2017 à Yaoundé, pour convoquer et voir à l’œuvre quelques nouveaux joueurs. 

Toutefois, cela ne signifie aucunement que les joueurs qui ne seront pas convoqués pour ce match sont définitivement écartés de la sélection.

Tous les joueurs éligibles à la sélection algérienne, y compris ceux qui ne seront pas concernés par la prochaine confrontation, demeurent sélectionnables. in FAF
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13 septembre 2017

François Blaquart : " Prêt à contribuer à la formation en Algérie"


François Blaquart, ancien Directeur technique national de la Fédération française de football, a effectué une visite en Algérie de quatre jours au cours de laquelle il a eu des discussions avec le président de la FAF, M. Kheireddine Zetchi, le Directeur technique national, M. Fodil Tikanouine, des membres du Bureau fédéral, des Directeurs techniques régionaux et des entraineurs. Il a établi un constat sur la réalité de la formation en Algérie, qu’elle concerne les joueurs ou les entraîneurs. Avant de rentrer en France, il a accepté de nous livrer ses sentiments sur ce qu’il a vu et sur les perspectives de contribuer à la réforme de la DTN en sa qualité de consultant libre.
M. François Blaquart, merci d’avoir accepté de répondre à quelques unes de nos questions. Vous êtes venu en Algérie en ce mois de septembre 2017, mais, à notre connaissance, il a été question que vous veniez bien avant. Quel a été votre premier contact avec la Fédération algérienne de football pour effectuer une visite en Algérie ?
C’est la troisième fois que je viens. J’étais venu pour donner une conférence il y a quelques années, puis j’étais venu discuter avec l’ancienne équipe dirigeante. Là, il se trouve que le président de la fédération a pris contact avec moi pour me demander de venir voir comment fonctionnait le football en Algérie et surtout d’échanger avec mon collègue (M. Fodil Tikanouine, Directeur technique national, ndlr) et tous ses collaborateurs sur la réalité du football algérien par rapport à des choses qui pourraient se faire à moyen terme sur des programmes dits de développement sous toutes les formes et aussi par rapport à l’expérience que j’ai pu acquérir par mon métier de DTN à la Fédération française de football depuis pas mal d’années. Il s’agissait d’observer un petit peu et de voir dans un premier temps comment ça fonctionnait et de débattre sur ce qui pouvait être éventuellement amélioré ou modifié par rapport aux exigences du football moderne et aux possibilités du football algérien sur les aspects modernité, développement, progrès et performance. L’idée est de faire en sorte que le football algérien soit meilleur sur tous ces aspects dans la mesure du possible.
Il y a eu deux aspects dans votre visite. D’abord, l’aspect théorique puisque vous avez eu des discussions avec le DTN, M. Fodil Tikanouine, le président de la FAF, des Directeurs techniques régionaux, des entraîneurs… Quelle a été la quintessence de ces discussions ? Qu’est-ce qu’il en est ressorti ?
On est partis sur les trois grands axes du métier de la DTN : la partie développement dont on résume souvent l’idée à faire jouer tous les pratiquants amateurs, notamment les enfants ; la formation du joueur de haut niveau, de la détection jusqu’aux sélections nationales de jeunes, de façon à rendre le football algérien plus performant puisqu’on peut toujours être plus performant ; le troisième pilier, celui qui accompagne tout ça, c’est la qualité de la formation des entraîneurs sous toutes ses formes : la méthodologie et ainsi de suite. Cela a toujours été le centre de la discussion que nous avons partagée d’ailleurs sur les trois journées. A chaque fois, les gens expliquaient un peu comment ça se passait et, moi, j’expliquais comment je voyais les choses et comment on les avait concrétisées en France. Il ne s’agit pas d’en faire un modèle, surtout pas, mais simplement d’avoir des éléments pour échanger. Après, le tout est d’imaginer si ce qui est fait est bien, si ça mérite d’être modifié, si on peut s’appuyer sur d’autres connaissances ou d’autres expertises… et ainsi de suite pour faire progresser les choses. Quand j’étais DTN en France, c’était la même chose : j’ai toujours cherché à être meilleur. Autrement, on ne progresse plus. Ça a été donc toujours des discussions et, à partir de là, vous abordez deux ou trois problèmes. C’est des décisions politiques. D’abord, fixer les objectifs et les moyens de les concrétiser et cela ramène aux problèmes de ressources humaines. Il faudrait fédérer tout le monde et faire mener tout le football algérien sur le même projet parce que la fédération ne peut pas avoir des projets si elle n’a pas l’adhésion des régions et des clubs, de même que les régions ne peuvent pas avoir des projets sans l’aval de la fédération et des clubs. Les clubs professionnels sont censés être professionnels, mais est-ce qu’ils le sont vraiment ? Est-ce qu’il y a des choses à faire sur ce volet ? Et les clubs amateurs, est-ce qu’il faut les avoir ? Je suis toujours dans une approche systémique, c’est-à-dire que tout est lié et rien n’est séparé. Le haut niveau et la pratique de base sont très liés et, souvent, on a tendance un petit peu à les séparer. Donc, l’idée est d’avoir une vision sur la fédération et la Direction technique nationale et il faudra après mettre cette vision en musique en développant les programmes, en créant des outils, en renforçant l’expertise… et ainsi de suite.
Il y a eu également le volet pratique, sur le terrain. Vous avez eu l’opportunité de visiter à l’improviste des clubs et des terrains où des jeunes s’entrainaient. C’était de manière inopinée afin que vous voyiez la réalité de ce qui se passe en Algérie. Est-ce que vous vous attendiez à voir ce que vous avez vu ? Est-ce que l’exiguïté des terrains est, par exemple, problématique pour la formation ?
Bien sûr, c’est très problématique. On ne peut pas bien entraîner dans des conditions extrêmement désavantageuses. On est allés sur des terrains où il y avait, si je ne me trompe pas, six ou sept ou huit groupes qui s’entrainaient en même temps. Ces gens ont un mérite fantastique. Par contre, ce qu’on peut constater, c’est qu’il y a un engouement terrible, très vivant, très dynamique. Les gens arrivent à s’organiser pour se partager les terrains. J’ai vu des entraineurs qui travaillaient déjà très bien et j’ai aussi vu des entraineurs qui travaillaient très mal. On a discuté avec des gens passionnants et passionnés qui, souvent, font ça sous forme de bénévolat. Moi, j’ai de l’admiration pour ces gens-là. Cela donne un caractère très vivant à ces stades parce qu’il y a du monde partout, mais ça donne aussi un caractère inquiétant parce qu’il y a un manque d’infrastructures. Cela dit, on était à Alger, une grande ville. Même en Europe, dans les grandes villes, il y a ce problème d’infrastructures, mais là, c’est flagrant. Par contre, j’ai vu beaucoup de gens qui avaient envie de faire des choses et qui essayaient de les faire dans des conditions difficiles. Ce serait bien que des entraîneurs français aillent voir comment ça se passe ailleurs parce que ce n’est pas facile (rires). J’ai vu des gens qui travaillaient bien, d’autres qui travaillaient un peu moins bien. Il y a beaucoup de vie. Donc, ça veut dire qu’il y a un potentiel fort, une envie très forte et aussi de la qualité parce que j’ai vu, en très peu de temps, de bons jeunes footballeurs amateurs. Je ne dis pas des footballeurs extraordinaires, mais j’ai vu de bons footballeurs. On est dans un cadre qui ressemble, en termes de qualité et de population, à ce qu’on connaît dans des pays comme les nôtres. Donc, il n’y a pas beaucoup de différence, sauf que les conditions sont un peu plus compliquées.
Vous avez parlé de la nécessité de conjuguer les efforts de la fédération et de l’Etat pour une action commune. Votre conclusion est-elle que la fédération ne peut faire aboutir un projet s’il n’y a pas un accompagnement de l’Etat sur les plans des infrastructures et des moyens humains ?
Je ne peux pas répondre parce que je ne connais pas le système organisationnel algérien. Je vais parler du système français où l’Etat a la tutelle du sport et la délègue aux fédérations. Aujourd’hui, dans le système français, et comme il y a une forme de désengagement de l’Etat sur le plan de l’argent à cause de la crise économique, les fédérations sont responsables de ce qu’elles font. Quand on est dans le football, l’avantage est qu’il y a un peu d’argent et c’est donc plus facile à faire. Pour d’autres sports, c’est un peu plus compliqué. L’important, c’est que chacun soit à la bonne place. Quel est le rôle de l’Etat et quel est le rôle de la fédération ? En France, la fédération a la tutelle complète du football. C’est donc une délégation qu’elle a de l’Etat, lequel peut intervenir lorsque ça ne va pas, mais elle est responsable de l’organisation du football dans sa globalité. Le danger, quand il y a plusieurs institutions qui s’en occupent, est qu’il y a parfois incohérence des programmes. Donc, l’intérêt d’une fédération est de veiller à ce que tout soit en cohérence, qu’il n’y ait pas une perte d’énergie ou des pertes d’argent, que les moyens aillent aux bons endroits… Ça peut être très complémentaire, à condition que tout soit bien défini : qui s’occupe des jeunes ? A quel âge ? Dans quelles structures ils s’entrainent ? Qu’est-ce qui fait la formation des entraîneurs ? La fédération ne peut pas faire la formation des cadres si l’Etat le fait. Inversement, l’Etat ne peut pas la faire si la fédération la fait. Sinon, vous arrivez à des systèmes relativement incohérents et non coordonnés. L’intérêt et de coordonner pour être efficace. En France, par exemple, même les diplômes d’entraîneurs sont purement fédéraux, c’est-à-dire que c’est la DTN et la fédération, propriétaires de ces diplômes, qui les développent. Il y a quelques fois une complicité de l’Etat en terme d’intervention, mais il y a une seule unité de formation pour l’ensemble des diplômes. Ça, c’est important. Il faut mettre de la cohérence.
Il y a en Algérie un petit débat sur la formation : pour certains, c’est aux clubs de former, et pour d’autres, c’est à la fédération de former. Pour vous, qui doit former ? Ou bien faut-il qu’il y ait complémentarité entre les deux parties, clubs et fédération ?
C’est un choix stratégique, mais c’est à la fédération de le déterminer. Elle doit déterminer le plan de formation du joueur et savoir qui l’applique. En France, les U14 et U15 sont formés dans les centres fédéraux, donc par la fédération, puis, de la catégorie U16 jusqu’à celle de U20, ils vont dans les centres de formation des clubs professionnels qui sont très performants puisque, aujourd’hui, la formation française marche bien. Par contre, la formation dans le football féminin en France est au stade des balbutiements, comme chez vous. Elle commence juste à se développer. Les clubs féminins ne sont pas capables de faire de la formation de haut niveau. Donc, les filles de 16 à 18 ans sont dans des structures fédérales. Cela veut dire que vous vous adaptez aux besoins et aux moyens. C’est à la fédération, avec les clubs, de décider qui fait les choses, sur quelles étapes et à quel moment. C’est un peu comme définir le rôle d’une wilaya, d’une région et de la fédération dans la répartition des tâches. L’important est que ce soit défini. C’est surtout ça. Si les clubs ne sont pas à même de faire de la formation, il vaut lieu que ce soit la fédération qui le fasse, mais si les clubs sont capables de le faire à un certain âge, il vaut mieux que le relais soit pris par eux. Les centres de formation en France sont dans des clubs, mais ils sont complètement contrôlés par la DTN en termes d’agrément, de formation, de programme, de suivi… C’est-à-dire que c’est une forme de délégation. Si c’est pour laisser les clubs faire de la formation sans exigence, ça ne sert à rien non plus. Donc, il y a des passerelles. Ce ne sont que des choix stratégiques parce que les pays n’ont pas tous la même organisation. Vous avez aussi des systèmes scolaires sports et études à l’américaine qui peuvent être très performants, où les joueurs font du sport dans des lycées, des collèges et des universités. Le choix du système est dépendant de la structuration institutionnelle du pays. Il y a donc des endroits où il vaut mieux que ce soit les clubs qui forment, d’autres où il vaut mieux que ce soit l’Etat et d’autres où il vaut mieux que ce soit la fédération qui le fasse, puis il y aura une répartition des responsabilités. Le grand danger est que les structures se concurrencent alors que l’important est qu’elles se complètent. Comme je vous l’ai dit, en France, les 14 et 15 ans sont formés par les pôles fédéraux, qui marchent très bien, et l’INF (Institut national de football de Clairefontaine, ndlr), et les 16 à 20 ans par les clubs professionnels.
Vous avez été longtemps Directeur technique national à la Fédération français de football. Est-ce que vous pouvez nous résumer le palmarès des sélections françaises de jeunes sous votre direction ?
Je suis un DTN gâté (rires) ! J’ai commencé par un titre de champions du monde U17 filles et j’ai fini l’an dernier par un titre de champion d’Europe U19 garçons. Entre-temps, on a été champions d’Europe U17 garçons, champion du monde U20 garçons, trois fois champions d’Europe U17 filles et on a fait énormément de finale, demi-finales et quarts de finale car le plus important est d’être toujours au haut niveau. Donc, je suis un DTN gâté, sincèrement. De plus, la France est reconnue aujourd’hui comme le plus grand pays formateur d’Europe, celui qui exporte le plus de joueurs dans les grands clubs. Cela ramène aussi une économie très forte. Donc, effectivement, je suis parti au bon moment avant que tout cela ne parte (rires). Je suis très, très chanceux, mais ce sont tous mes collègues qui ont fait le travail, et non pas moi seulement.
Justement, cet été, deux des plus gros transferts à l’intersaison ont été deux joueurs issus de la formation française : Kylian Mbappé et Ousmane Dembele. Pouvez-vous nous citer d’autres joueurs qui ont été formés sous votre égide avant d’exploser sur la scène internationale ?
Il y a deux joueurs qui ont été transférés vers des clubs importants : Lacazette et Tolisso. Tolisso est parti au Bayern Munich et Lacazette à Arsenal. Aujourd’hui, la sélection de France est composée en grande majorité de joueurs issus du système de formation. Le meilleur exemple est Mbappé parce qu’il a fait l’INF et le centre de formation de Monaco. Rabiot du PSG a fait le centre de préformation de Toulouse, le centre de formation du PSG et toutes les sélections nationales de jeunes. L’Equipe de France est composée de beaucoup de joueurs qui ont fait les sélections nationales et qui ont appris à gagner en jeunes. Ça, c’est très important. Quand vous voyez l’Equipe de France d’aujourd’hui, on la juge bonne et avec une grande qualité comme on n’en avait pas eu depuis longtemps. Tous ses joueurs, de Lloris qui est le plus vieux à Mbappé qui est le plus jeune, ont gagné des titres en jeunes. Lloris a été champion d’Europe U19, Pogba et Varane ont été champions du monde… Bon nombre d’entre eux sont passés par le système de formation classique, dont certains par les pôles fédéraux : Mendy, Mbappé, Rabiot… Pour nous, c’est aujourd’hui la concrétisation d’un travail important avec une mentalité et une connaissance de jeu qu’on a développées sur de nouveaux programmes et qui sont visibles. Quand on voit la sélection française U19 être championne d’Europe ou celle U17 un an auparavant gagner contre les Allemands en leur mettant quatre ou cinq buts de manière flamboyante, avec la qualité de jeu que l’on recherche, avec le comportement et la mentalité voulus, c’est effectivement une source de satisfaction. Surtout, ce qu’il faut se dire, c’est que ce n’est pas suffisant. Je suis persuadé qu’on peut faire beaucoup mieux. J’ai arrêté volontairement parce que j’ai pris ma retraite, mais il y a encore plein de choses à faire, comme l’organisation des compétitions de jeunes. Il y a plein de petits trucs à faire qui permettraient d’améliorer encore les choses, mais quand vous avez ce type de résultats, vous ne pouvez être qu’un DTN heureux. Je pense que tous mes collègues rêvent de telles situations. C’est une forme de reconnaissance pour la Direction technique nationale car ce n’est pas toujours facile d’être à la DTN.
Tous ces résultats ont fait de vous une référence sur le plan mondial. Cependant, pour beaucoup d’Algériens, vous êtes surtout connu pour les fuites qu’il y a eu lors d’une réunion que vous aviez tenue à la DTN et la question des fameux quotas que la DTN a préconisés pour certains joueurs issus de l’immigration parce que ces joueurs, une fois formés par la France, jouaient pour les sélections de leurs pays d’origine. Pouvez-vous revenir sur ce point afin de l’éclaircir et clarifier votre position pour l’opinion publique algérienne ?
D’abord, il s’agissait de fuites d’une réunion privée, ce qui est quand même scandaleux. On était dans une réunion privée et il n’y a eu aucune action publique qui a été menée dans ce sens-là. Je rappelle qu’on était après Knysna (le scandale de Knysna, lors du Mondial-2010, où des joueurs français avaient refusé de descendre du bus pour s’entrainer afin de protester contre le renvoi de Nicolas Anelka par la Fédération française de football, ndlr) et on avait des problèmes de comportement de jeunes qui était énorme et cela n’avait rien à voir avec leurs origines ethniques. Moi, j’ai toujours l’habitude de laisser parler les gens lors des réunions. On était encore sous le choc. Le DTN était parti et on essayait de se reconstituer. On était attaqués de toutes parts, au point où la fédération avait organisé des états généraux du football. Au cours de cette réunion, la discussion a porté sur l’intérêt qu’avaient les jeunes à rester en sélection de France. Justement, c’est une discussion qu’on a eue ce matin (mardi matin, ndlr) : aujourd’hui, un joueur qui vient en sélection doit avoir un amour pour cette sélection. C’est vrai que certains sélectionneurs vivaient mal de travailler avec des jeunes et de les voir partir après, pour la bonne raison qu’on pouvait estimer que ces jeunes prenaient la place d’autres et qu’au moment où ils nous «laissaient tomber», après un investissement financier et un investissement humain. Il y a une forme d’inquiétude, si vous voulez, Cette inquiétude, c’était l’ «identification» et l’appropriation de la sélection par le joueur. Comme dans un club, quand un joueur vient jouer, il faut qu’il aime sa structure. La discussion était donc partie de là et il est évident que c’était une discussion interne et les mots n’ont pas été forcément toujours choisis. Il faut savoir que ça a été copieusement déformé par le média. Je rappelle qu’à la sortie de cette affaire, il y a eu des enquêtes publiques qui ont conclu que nous n’avions rient fait et que rien n’a été lancé. En plus, c’est mal tombé avec moi parce que je suis quelqu’un qui travaille beaucoup dans tout ce qui est lié aux discriminations. On nous accusés de tous les maux alors que le document était sorti six mois après la réunion et qu’il était prouvé qu’on n’avait rien orienté. Je reconnais moi-même que j’ai dit un mot et j’ai regretté tout de suite ce mot, mais quand on discute, on peut à un moment sortir un peu. Le résultat de cette discussion nous a amenés à renforcer l’accompagnement des joueurs et notamment tout ce qui est du domaine du mental de façon à ce que les joueurs s’identifient davantage au projet parce qu’on s’est rendu compte qu’en fait, on n’accompagnait pas assez les joueurs dans leur projet vis-à-vis de la sélection. Après, il n’y a aucune gêne qu’un joueur parte vers une autre sélection. Je suis d’autant plus à l’aise pour le dire que j’ai un très bon ami qui a été capitaine de l’Algérie pendant longtemps : Anthar Yahia. Il a été mon joueur à Sochaux et j’ai toujours été très heureux qu’il soit le capitaine de l’Algérie parce qu’il a exprimé une fierté exceptionnelle et que c’était ses racines. Je comprends cela. Nous estimions que, dans les sélections de jeunes, on pouvait accepter cette notion de bi-nationalité, mais qu’à un moment donné, il fallait choisir. Michel Platini avait fait une excellente proposition en disant que le choix devait se faire à 18 ans, quand le joueur devient majeur. C’est beaucoup plus difficile lorsque le joueur joue en Espoirs jusqu’à 23 ans car, quelque part, il vous «laisse tomber» sur le plan sportif. Cela n’a rien à vor avec des idées qui peuvent être considérées comme xénophobes ou discriminatoires. Pas du tout ! Tout simplement, on a réagi en sportifs. Je prends un exemple : en France –je ne sais pas si c’est le cas avec l’Etat algérien-, il y a des jeunes qui, quand ils sortent de certaines écoles, doivent travailler pour l’Etat (ce qui est appelé en Algérie le service civil, ndlr). C’est exactement la même chose. On estime qu’on a investi à la formation et que ce joueur doit quelque chose à la structure qui l’a formé. Je ne dis même pas à la nation qui l’a formé. Ça n’a eu aucun, vraiment aucun prolongement puisque, de toue façon, cette histoire est sortie six mois après la réunion et il n’y avait plus rien. Elle nous est tombée dessus alors que je ne me souvenais même plus de la réunion. Sincèrement. Sauf qu’il y a quelqu’un qui l’a enregistrée, ce qui est relativement malhonnête. Imaginez que vous ayez un collaborateur qui, derrière vous, enregistre votre discussion, la fait manipuler et la transmet à un média (Mediapart, ndlr) qui a transformé complètement la chose. La question était simplement de dire : est-ce qu’on peut faire en sorte que les joueurs qui sont en sélection s’engagent davantage dans la sélection ? On a fait notre mea-culpa parce qu’on s’est dit que c’est de notre faute et qu’il faut qu’on amène les joueurs à ce qu’ils aient plus d’engagement et, donc, qu’il faut qu’on travaille sur des données, notamment sur tout ce qui est lié à l’appropriation et au mental. Quelque part, ça nous a permis de progresser, sauf qu’avec cette affaire, on en a pris plein la tête. On m’a traité de choses que je ne suis pas. Les gens me connaissent. J’ai travaillé à l’étranger. Sinon, je ne serais pas venu ici (en Algérie, ndlr). Je peux vous faire la liste de mes amis.
Il y a des Algériens, entre autres ?
Entre autres, oui ! Beaucoup ! Voilà, c’est les médias. Cela m’a permis de grandir parce que ça a été douloureux. Vous m’en parlez encore alors que vous ne devriez pas m’en parler. Si ça permet de mettre les choses au point, OK, mais je trouve cela malheureux car j’ai fait autre chose dans ma vie.
Pour conclure, après avoir effectué une visite en Algérie, eu un aperçu de ce qui se fait ici et fait des constats, est-ce que ça vous intéresse de participer à la réforme du football algérien tel que ça vous été proposé, sous forme de consulting ?
Je ne sais pas. Moi, je suis venu à la demande de la FAF. On a bien discuté et c’était très intéressant. Je suis un homme libre puisque je suis retraité et je me suis positionné dans mes activités pour faire du conseil du moment que les gens pensent que je peux avoir une expérience compte tenu des structures dans lesquelles je suis passé et des responsabilités que j’ai eues : conseil aux clubs et conseil au nations. Je reconnais que je n’ai pas envie de faire une rupture totale et que l’idée de conseil à une nation ou à un club professionnel peut me séduire, à condition que l’on ressente la volonté réciproque de travailler ensemble. Je ne suis pas dans une demande d’emploi. Je suis dans l’expression de transmettre mon expérience. On parle d’ingénierie et j’aime bien ce mot parce qu’il évoque des connaissances qui sont particulières et qu’on peut partager et qu’on a déjà commencé à partager. C’est à la fois de ma décision, à savoir si j’ai envie de le faire ou pas, et de la décision du président, du DTN et du Bureau fédéral de savoir si ça les intéresse ou pas ou s’ils en ont envie. De toute façon, ce sera limité à une notion de conseil et ce ne sera fait que s’il y a une envie réciproque. On ne peut pas dire autre chose. Ça se fera ? Ça ne se fera pas ? Je n’en sais rien. Une chose est sûre : c’est assez excitant dans le sens où il y a peu de nations qui peuvent offrir le potentiel qu’offre aujourd’hui l’Algérie en termes de football. Il y a la passion, la population, une page d’histoire et, surtout, les ressources humaines, notamment les joueurs. Ça veut dire que c’est passionnant. Vous pouvez tomber sur un petit pays où il y a trop de limites ou dans un pays où, économiquement, c’est difficile. Il y a donc quelque chose à faire. Il peut y avoir beaucoup de similitudes avec ce qu’on a pu faire en France et ce qui se fait aussi en Espagne ou en Allemagne. C’est des pays qui sont dominants en Europe dans les domaines de structuration. Donc, à voir. Wait and see, comme on dit.
Mais vous, ça vous intéresserait, en cas d’accord ?
Cela dépend du projet. C’est-à-dire que, d’un côté, il faut que les gens comprennent et voient si je peux ramener quelque chose ou pas parce qu’on pourra dire qu’il ne nous ramène rien. De mon côté, il faut que je ressente cette envie. Il y a une partie de passion qui est intéressante parce que j’ai l’avantage aujourd’hui de ne pas courir après les choses. Mais je suis en forme (rires). in FAF
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14 mars 2011

Algérie- Maroc: Les 23 joueurs algériens convoqués



Le sélectionneur national, M. Abdelhak Benchikha a communiqué la liste des joueurs convoqués pour le match Algérie- Maroc du 27 mars prochain, comptant pour la troisième journée des éliminatoires de la CAN 2012.
Il est à rappeler que le match Algérie- Maroc, aura lieu au stade du 19 mai 1956 d’Annaba, le 27 mars 2011 à 20h30.
Le sélectionneur national, animera un point de presse ce mercredi au centre de presse de l’OCO Mohamed Boudiaf d’Alger (Stade du 5 juillet).




Liste des joueurs convoqués :


N° Noms et Prénoms Clubs
01 Mbolhi Rais CF Krylia Sovetov (Russie)
02 Ziaya Abdelmalek Itihad Djeddah (Arabie Saoudite)
03 Ziani Karim Kayserispor (Turquie)
04 Bouzid Smail Heart of Midlothian (Ecosse)
05 Lacen Medhi Racing Santander (Espagne)
06 Mustapha Mehdi Nimes Olympique (France)
07 Abdoun Djamel AO Kavala (Grèce)
08 Yahia Anther Bochum (Allemagne)
09 Boudebouz Ryad FC Sochaux (France)
10 Yebda Hassan Naples (Italie)
11 Djebbour Rafik Zoheir Olympiakos (Grèce)
12 Medjani Carl Ajaccio (France)
13 Bougherra Madjid Rangers FC (Ecosse)
14 Mesbah Djamel Eddine Lecce (Italie)
15 Ghezzal Abdelkader Bari (Italie)
16 Belhadj Nadir Al Sadd (Qatar)
17 Chaouchi Faouzi ES Sétif
18 Lemmouchia Kaled ES Sétif
19 Metref Hocine ES Sétif
20 Hadj Aissa Lazhar ES Sétif
21 Djabou Abdelmoumen ES Sétif
22 Zemmamouche Mohamed Lamine MC Alger
23 Mefath Mohamed JSM Béjaia


www.AlgerFoot.com
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23 février 2011

Le Stade de Annaba sera pret: Les travaux d’aménagement lancés


Les travaux de réaménagement de la pelouse du stade du 9 mai 1956 à Annaba ont été lancé mardi, en prévision de préparer le match Algérie-Maroc du 27 Mars pour le compte des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations qui aura lieu en Guinée équatoriale et le Gabon en 2012.
En Effet, une entreprise Française a été appelée à la rescousse pour soigner la pelouse du stade qui était dans un mauvais état.


L’expert Français Yoann Verne a déjà pris des notes sur l’état du gazon su stade Annaba , mardi et a ordonné par la suite le lancement des travaux pour finaliser avant le rendez-vous du 27 Mars.
Les travaux concernent également , le réaménagement des gradins ainsi que les 500 places de la tribune officiel.
Le Coût total estimé de cette opération est de 6 milliards de centimes, une somme qui aurait déjà été débloquée par le ministère de la jeunesse et des sport.

“Nous avons des assurances que le stade d’Annaba sera prêt pour accueillir cette importante rencontre dans les meilleures conditions possibles. Une entreprise spécialisée a été chargée de remettre la pelouse en bon état. Je remercie les dirigeants de l’USM Annaba qui ont accepté de recevoir dans un autre stade, leurs adversaires en championnat d’Algérie de Ligue 1. C’est une bonne chose pour nous et c’est dans l’intérêt du football algérien”, avait déclaré Benchikha qui était confiant quant à la possibilité de recevoir le match capital dans la ville bonoise.

Pour rappel, l’Algérie partage avec la Tanzanie la dernière place du groupe D avec un seul point à l’issue de la deuxième journée des qualifications. La Centrafrique est en tête avec quatre points et une meilleure différence de buts que le Maroc qui possède le même nombre de points.
Le premier du groupe se qualifiera directement pour la phase finale de la CAN-2012 qui se déroulera au Gabon et en Guinée Equatoriale.
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22 février 2011

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CHAN 2011: Algerie- Tunisie (1-1), La Tunisie passe en Finale aux tirs au but


A l'issue des prolongations, l'Algérie et la Tunisie n'ont pu se départager (1-1). La place en finale du CHAN Orange 2011 va se jouer aux tirs au but.

L'Algérie et la Tunisie n'ont pu se départager (1-1) à l'issue des prolongations. Au but inscrit par Kasdaoui (18ème), les Fennecs ont répliqué après la pause sur une frappe de Djabou (62ème). La place en finale du CHAN Orange 2011 va se jouer aux tirs au but. A noter que, dans les buts tunisiens, Rami Jeridi (Stade Tunisien) a remplacé Balbouli à l'ultime minute de la prolongation.


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18 février 2011

CHAN 2011 / AFRIQUE DU SUD-ALGERIE (0-2) :L'ALGÉRIE TRANQUILLEMENT

L’Algérie s’est qualifiée vendredi pour les demi-finales du CHAN Orange 2011, en battant l’Afrique du Sud (2-0). En demi-finales, mardi, les Fennecs affronteront le vainqueur du match Tunisie - RD Congo.



L’Algérie tient sa demi-finale. Les Fennecs locaux se sont qualifiés en battant avec beaucoup de maîtrise et de réalisme l’Afrique du Sud (2-0), vendredi à Khartoum. Sur la pelouse synthétique du Stade International, ce sont les Fennecs qui prenaient la direction des opérations, se créant une première occasion par Soudani, bien contré par Mokhasi (7ème). Après que Shabangu ait amusé le public par ses pitreries balle au pied, le portier sud-africain s’illustrait de nouveau en sortant de sa lucarne une superbe frappe de Metref (22ème). Le milieu de l’ES Sétif menaçait encore Makhasi sur un coup franc contré (28ème). La pression ne faiblissait pas sur le but sud-africain : sur une mauvaise relance de Mokhasi, Soudani récupérait le ballon aux 30 mètres et décochait une frappe rasante, contraignant le gardien de SuperSport United à une belle manchette (35ème). Entre temps, les Bafana Bafana, fidèles à leur tactique attentiste, n’avaient que peu menacé Zemmamouche : sur coup franc (14ème) puis sur une balle de contre, à l’issue de laquelle Shongwe ratait la conclusion en face-à-face (42ème).
La domination algérienne se trouvait finalement récompensée au moment idéal : très remuant, Djallit était gêné dans la surface par Mokhasi. Le penalty était transformé sans trembler par Maiza (45ème, 0-1). Au retour des vestiaires, les hommes de Simon Ngomane remontaient d’un cran et se faisaient plus pressants. Mais ce sont les Algériens qui se créaient la première grosse occasion. Sur une contre-attaque rondement menée par Hadj Aïssa, rentré à la place de Djallit, la balle échouait à Soudani, qui butait sur Mokhasi (55ème). Les Boys reprenaient leur domination stérile. La punition manquait d’intervenir, mais Metref ratait une grosse occasion de faire le break, seul face au but (80ème). Ce n’était que partie remise. Dans le temps additionnel, ce même Metref profitait d’un bon décalage de Feham pour porter l’estocade (90ème +2, 0-2). L’Algérie, qui a déjà fait mieux que l'objectif fixé par la FAF, rencontrera mardi en demi-finales, le vainqueur du choc entre la Tunisie et la RD Congo, tenante du titre. Excusez du peu…
Le onze algérien : Zemmamouche - Meftah, Laïfaoui (c), Maïza, Yekhlef - Metref, Lemmouchia ; Djallit (Hadj Aïssa, 45ème), Messaoud, Djabou (Feham, 65ème) - Soudani.



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11 février 2011

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Tournoi de l'UNAF (U-20): l'Algérie termine à la 2è place


La sélection algérienne de football des moins de 20 ans (U20), s'est classée à la 2è place du tournoi de l'Union nord-africaine (UNAF) de la catégorie qui s'est disputé en Libye (7-10 février), après sa défaite face au pays hôte (1-0), lors de la 3è et dernière journée de cette compétition.

Les coéquipiers de Mohamed Mekki ont réalisé deux victoires lors des deux premiers matchs (2-0 face au Maroc, et 1-0 face au Kenya), rappelle-t-on.

Dans l'autre match de la dernière journée, le Kenya a pris le meilleur sur le Maroc (2-0), ce qui lui a permis de terminer à la 3è place avec 3 pts, alors que le Maroc s'est classé à la 4è et dernière position avec un seul point.

Ce tournoi, s'est déroulé sous la formule d'un mini-championnat, et a regroupé l'Algérie, le Maroc, la Libye et le Kenya comme invité.
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09 février 2011

Amical Olympique: Algérie bat le Sénégal 3-2

La sélection nationale olympique s’est imposée en amical mercredi après midi  face à son homologue du Sénégal (3-2) au centre national technique du Football de Sidi moussa.
L’attaquant international algérien de Panionos (Grèce) Mohamed Chelali a inscrit un triplé pour l’Algérie (14’, 40’ et 47’) alors Konaké (46’, 82’) a marqué les deux buts sénégalais.
Les deux formations s’étaient déjà affrontées an amical dimanche dernier à dar EL Beida (0-0).
L’Algérie, exempte du tour préliminaire des éliminatoires des Jeux Olympiques de Londres 2012, jouera le samedi 26 mars 2011 à Alger contre Madagascar pour le compte du second tour. La rencontre retour aura lieu en Madagascar le 8,9 ou 10 avril 2011.
Il est rappelé qu’en cas de victoire, la sélection nationale olympique jouera un autre match contre un adversaire que désignera la CAF, qui a fixé les dates de match aller pour le 3,4 ou 5 juin 2011 et celui du match retour le 17, 18 ou 19 du même mois.
Les 8 équipes qualifiées à l’issue du dernier tour participeront à un tournoi final qui aura lieu du 2 au 18 décembre 2011 dans un des pays africains qualifié et qui sera désigné ultérieurement. L’Algérie présentera sa candidature à la CAF pour accueillir ce tournoi en cas de qualification à ce tour. Les trois premiers de ce tournoi seront qualifiés directement aux JO 2012. L’équipe classée quatrième disputera pour sa part un match d’appui avec une équipe de la zone Asie pour le dernier billet qualificatif. FAF


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08 février 2011

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Tournoi UNAF U20: Algérie- Kenya (1-0) - Voir le But

L`équipe nationale d`Algérie U20 a battu Mardi, son homologue du Kenya (1-0), pour le compte du second match du tournoi de l`Union Nord Africaine de Football qui se déroule a Tripoli en Libye.

L`unique but de la victoire a été marque a la 84` minute de jeu
C`est la deuxième victoire de suite des algériens après celle enregistrée face au Maroc (2-0) au premier match.
A noter que le Kenya non membre de l`UNAF a été invité  pour participer a ce tournoi alors que le Mali a été convie a participer au tournoi précédant.  
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CHAN 2011: le Gabon accroche l’Algérie (2-2) - Buts et Résumé Vidéo

Deux matches, deux victoires... l’Algérie pensait avoir fait le plus dur grâce à ce doublé de Soudani (70e, 91e) en toute fin de rencontre. Raté, c’était sans compter sur la volonté des Gabonais. Lengouamala (51e) avait ouvert la marque pour les Gabonais. Soudani égalisait (70e) avant de remettre le couvert (91e). Match gagné, qualification assurée ? Non. Le Gabon réplique dans la foulée par Bembangoye (92e). 2-2, score final. L’Algérie de Benchikha qui pensait avoir fait le plus dur est encore en course pour les huitièmes de finale du CHAN 2011.


les Buts:


http://www.youtube.com/watch?v=9KZ8ZvYFj3U


http://www.youtube.com/watch?v=SF9ScQvHM-U


http://www.youtube.com/watch?v=mlBNDJLQi38


http://www.youtube.com/watch?v=bwD9jKAV50Y

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07 février 2011

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Tournoi UNAF U20: Algérie- Maroc (2-0) - Sur Buts Gag

L`équipe nationale d`Algérie U20 a battu son homologue du Maroc Dimanche a Tripoli en Libye sur le score de 2-0 pour le compte du premier match du tournoi de l`Union Nord Africaine de Football.

Les deux buts algériens ont été inscrit sur actions insolites et identiques d`un tir des 50m qui a lobé en deux temps le portier du Maroc.
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05 février 2011

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CHAN 2011: Algerie - Ouganda 2-0 ( Buts et Résumé Video)

Un but dans chaque mi-temps auront suffi aux Algériens pour se défaire de faiblards Warriors (2-0). Mardi, ils pourraient se qualifier pour les quarts de finale du CHAN Orange 2011.

Abdelhak Benchika voulait que ses joueurs aient une victoire facile pour leur entrée en matière. Il a été entendu. Très vite les Algériens ont pris possession de la balle et ont pris d’assaut les buts Ougandais. Après un but refusé à Soudani, Abdelmoumène Djabou trouva la faille à la 18ème minute d’une magnifique frappe du gauche qui avait rebondi sur la barre transversale. Les partenaires de Laïfaoui, qui dût les abandonner à la pause, ont ensuite géré face à des Ougandais assez faibles, permettant d’arriver à la mi-temps sur ce score.
La deuxième mi-temps sera marquée par la fébrilité des Cranes, qui verront tour à tour Kasulé (54ème) et Odur (69ème) se faire expulser. Entre temps, Hilal Soudani avait aggravé la marque d’une frappe du gauche côté opposé après s’être joué de la défense centrale sur des subtilités techniques (62ème).
La dernière demi-heure se jouera sur un faux rythme. A 2-0, les Algériens pensaient déjà à leur rencontre de mardi face au Gabon, défait par le Soudan (0-1). En cas de victoire, ils pourraient sereinement envisager les quarts de finale. In StarAfrica

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02 février 2011

Classement FIFA: Chute pour l'Algérie et l'Egypte

L’édition de février du classement FIFA des nations voit de nombreux pays africains chuter lourdement, en raison de la dévaluation des points acquis durant la CAN Orange 2010. C’est notamment le cas de l’Egypte, de l’Algérie, de la Côte d’Ivoire et du Cameroun.




Marquée par la progression du Japon (17ème, +12), vainqueur de la Coupe d’Asie, le classement FIFA du mois voit les nations africaines reculer, en raison de la dévaluation des points acquis lors de la CAN Orange 2010 en Angola. A tout seigneur, tout « honneur », l’Égypte perd 23 places (33ème). L’Algérie en abandonne 19 (55ème),  L’Afrique du Sud (47e, +4) sont ce mois-ci les quatre seules nations à faire leur entrée parmi les cinquante premiers tandis que le Ghana devient la meilleure équipe du continent (15e, +1). La Côte d’Ivoire en abandonne 5 (26ème), le Cameroun aussi (43ème), la Tunisie 4 (48ème), l’Algérie 19 (55ème), le Gabon 21 (61ème), le Mali 16 (84ème), l'Angola 19 (107ème). Le Burkina Faso (41ème, +1), l'Afrique du Sud  (47ème, +4), le Sénégal (69ème, +1), le Maroc (74ème, +3) et la RD Congo (122ème, +6) tirent en revanche leur épingle du jeu.
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